Première journée à Rome, nous laissons les vélos au garage, et, après le copieux petit déjeuner proposé par Tereza,
nous décidons de revoir le centre historique et les petites rues que nous avions tant aimées lors de notre passage,
il y a 17 ans déjà.
Nous faisons une croix sur la visite de la galerie Borghese qui affiche complet pour plusieurs jours, et nous mettons en quête d’une carte de transports en commun. Facile : elle est vendue dans les tabacs et les stations de métro... sauf que, le premier tabac n’existe plus, le 2ème n’en vend pas, le 3ème seulement à l’unité.
Finalement, direction la station de métro la plus proche pour acheter le précieux sésame. Bref, après plus d’une heure de recherches
et 3 km à pied, nous prenons le métro pour revoir, de l’extérieur, le Colisée. Il est plus impressionnant que dans nos souvenirs, mais
la foule et la chaleur encore plus ! Nous déjeunons dans une pizzeria quelconque, et décidons de reprendre le métro vers le Vatican.
Nos crédenciales de pèlerins nous permettent de couper une file monstrueuse, de recevoir notre diplôme - le testimonium - et de visiter tranquillement l’énorme basilique Saint Pierre, qui mesure presque 200 m de long et pourrait contenir Notre-Dame de Paris !
En sortant sur la place, nous retrouvons par hasard Mathias, le cycliste Allemand que nous avions déjà rencontré précédemment.
Nous prenons quelques photos ensemble et échangeons sur nos trajets respectifs. Nous décidons alors de prendre un bus près
du Château Saint Ange, mais il ne viendra jamais (ni le bus, ni l’ange d’ailleurs) ! Nous marchons encore à travers cette belle et grande capitale, empruntons un autre bus qui doit nous rapprocher de la location mais qui invente d’un seul coup un nouveau terminus,
nous contraignant à finir à pied.
Bref, une belle journée de repos avec 34 degrés à l’ombre et 14 km dans les pattes, avant de ressortir dîner !
MM
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