[Lire] Les Révélations de Nesscliffe du Soissonnais Thierry Soyer

 

 

 

 

 

 

L’auteur Soissonnais Thierry Soyer vient de faire paraître tout récemment son nouvel ouvrage

Les Révélations de Nesscliffe, nouvelles archéologiques aux Éditions Agora Liberté.

 

 

 

 

 

 

 

Thierry Soyer précise : « Ce livre s’adresse à ceux qui cherchent une réponse authentique à notre passé originel. Le site de Nesscliffe Hill

en Grande Bretagne nous révèle une image rupestre qui appartient aux premiers hommes modernes.

 

Au-delà de son apparence formée de signes réducteurs, entre cercle, lignes verticales, horizontales et, obliques, il s’inscrit dans une volonté,

celle d’être une capsule temporelle afin d’unir plusieurs formes archaïques du langage premier des hommes. Individuellement, elles sont aussi des sons qui font échos entre eux.

 

De cette manière, nos ancêtres ont trouvé une manière simple et efficace de coucher sur la pierre un contenu informationnel. Ainsi, au sortir d’une longue période de temps, le glyphe de Nesscliffe Hill entre en résonance avec notre monde pour nous dire notre passé commun ».

 

L'éditeur Agora Liberté en parle

 

Ce livre répond à une urgence, un appel lancé par nos amis anglais, afin d’aider les archéologues à résoudre l’énigme d’une découverte faite à l’été 2022, lors des fouilles sur le site de Nesscliffe Hill. Le site avait été exploré dans les années 1950, puis remblayé par la suite, laissant cette découverte pour des fouilles ultérieures. Aujourd’hui, elle se révèle à la lumière pour nous présenter un glyphe intaillé dans une pierre de grès rouge qui laisse les chercheurs perplexes.

 

Il a une forme de coupe circulaire, marquée de lignes droites sculptées avec un outil en métal (Cf page 20). Les archéologues proposent d’en faire une lecture figurative en identifiant la coupe circulaire à une tête, tandis que la ligne de corps traversée par deux autres lignes, l’une indiquant le haut et l’autre le bas, donne à l’ensemble, l’image d’un être anthropomorphique. Et comme il porte des cornes,

les archéologues se souviennent que le site de Nesscliffe est sur le territoire putatif des «Cornovii».

 

Ces tribus de l'âge du fer dans l'île de la Grande Bretagne avant l'empire romain, et dont le nom fait référence aux «cornus».

D’autre part, il existe la possibilité que ce glyphe ait un lien avec un culte de divinité à cornes dans l'armée romaine, comme illustré

sur plusieurs sites militaires à travers la Grande-Bretagne.

 

Les Révélations de Nesscliffe, nouvelles archéologiques de Thierry Soyer. Illustration : Alexi Favini-Lenhof. Grand format broché 60 pages. Éditions Agora Liberté.

DB

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