Mis à jour le 27 octobre 2022 à 10h00.
La chute d'un arbre sur une ligne 20 000 volts a provoqué, ce 19 octobre, un dysfonctionnement de la continuité
de l'alimentation électrique.
La lampe du réfrigérateur qui vacille comme la flamme d’un cierge de Lourdes,
les prises de courant qui fonctionnent ici mais pas là, l’éclairage qui baisse d’un ton :
Ce mercredi 19 octobre après-midi, les habitants de La Chapelle-Monthodon ont-ils subi
un test grandeur nature de la baisse de tension électrique, ultime solution possible pour éviter de procéder à des coupures cet hiver évoquée par la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, le 30 août dernier sur France Inter ?
« On sait que ça économise beaucoup d’électricité, assurait la ministre. C’est une mesure que vous ne voyez pas, votre lumière est un peu moins lumineuse. »
Les habitants de la commune Sud-Axonaise sont certes impactés depuis près de douze ans par des microcoupures récurrentes.
Mais personne, jusqu’à ce jour d’automne, n’avait demandé à ces Valcampaniens de la mettre en veilleuse.
« Les microcoupures, ici, on connaît, s’exclame une habitante du bourg. Mais aujourd’hui, c’est la première fois que l’on nous fait ce coup-là. »
Véronique Pauly, directrice régionale Enedis Picardie, a été sollicitée par la rédaction afin de remettre les pendules à l'heure.
DB
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Latour (jeudi, 20 octobre 2022 12:20)
Rue St Martin, on n'a pas eu de "baisses de tension", mais 5 (cinq) coupures franches, dont deux de plus d'un quart d'heure.
L'une comme l'autre, ces situations sont très fâcheuses pour les appareils électroniques. Va-t-on devoir ressortir les très (antiques) antiques régulateurs qui faisaient la fierté de nos grands parents, sur leur étagère sous le télé?