A pied, en voiture, en tracteur ou encore à bicyclette : le franchissement de ce chantier de débardage forestier sur une voie ouverte à la circulation n’est pas une mince affaire. « Et si je me prends un morceau de bois sur la tête ?! » note au passage un cycliste. « Mais noooon, je suis là ! » positive un ouvrier.
Des arrêtés, une instruction interministérielle et le Code Général des Collectivités Territoriales encadrent tout de même d’une part, la signalisation routière temporaire de telles opérations et d’autre part, les souillures et dégâts occasionnés sur la voie publique. Un accident est si vite arrivé…
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